Arielle a 3 mois
- Laurie Thiboutot
- 23 déc. 2023
- 2 min de lecture
Aujourd'hui marque la fin officielle du 4e trimestre pour ma petite Arielle, et je ne peux m'empêcher de réfléchir à ces trois mois incroyables d'amour et de découvertes.

C'est tout simplement fascinant de voir à quel point cette petite merveille évolue rapidement, développant déjà sa propre personnalité !
Nous avons commencé à jouer ensemble, et nos premières "conversations" sont tout simplement adorables. Ces petits gazouillis, qui semblent être sa manière bien à elle de communiquer, font fondre mon cœur à chaque fois.
Je suis convaincue que parler est son activité préférée. Lorsque je ne lui accorde pas toute mon attention, elle trouve le moyen de nous interrompre pour qu'on lui parle. Oui, c'est peut-être un peu malpoli, mais on a encore du temps pour corriger ça. 😉

Elle adore regarder les choses bouger au-dessus d'elle, surtout son mobile. C'est devenu un rituel quotidien où elle lui parle et "chante", me donnant l'occasion parfaite de prendre ma douche (avec la porte ouverte, bien sûr, pour l'entendre si elle se tanne).
En tant que maman, je suis ravie qu'elle apprécie faire la grasse matinée après avoir eu une nuit un peu agitée. On reste donc couché ensemble quelques heures de plus le matin.

Et la dernière nouveauté adorable : elle rattrape sa suce lorsqu'elle tombe de sa bouche avec ses petites mains. C'est tellement mignon de voir ses petites mains devenir de plus en plus habiles.
Nos promenades quotidiennes avec Albert sont devenues des moments privilégiés. Arielle s'endort toujours sur moi dans le porte-bébé dès que nous franchissons le seuil de la porte. L'air frais semble lui faire du bien, et honnêtement, à moi aussi.

Arielle a aussi un petit caractère bien affirmé, peut-être comme sa mère. Elle est généralement très joyeuse, mais quand elle n'est pas d'humeur, tassez-vous de là! Je suis persuadée que le sixième voisin doit l'entendre !
J'avoue que c'est la partie la plus difficile au début. Entendre son bébé pleurer et ne pas comprendre ce qu'elle veut. Heureusement, je constate que plus le temps passe, plus on comprend ce qu'elle veut et on est même capable de distinguer les différents pleurs. Ça nous permet de se sentir plus en confiance dans notre rôle de parent.
Nous continuons à évoluer tous les trois au fil du temps, sans pression, à notre propre rythme, en laissant le jugement des autres de côté. Chaque jour est une nouvelle aventure, et nous sommes prêts à la vivre pleinement.

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